« Je fais ça parce que la cause me parle et parce que ça me fait du bien, parce que j’en ai besoin. Parce que tous les gens que je rencontre, ça m’apporte quelque chose. »
Flore, salariée à Action Contre la Faim.
Flore a choisi de s’engager aux côtés de l’association Action contre la Faim, en tant que salariée : elle nous parle de son expérience de chargée de projets jeunesse et nous explique ce que lui apporte son engagement solidaire.
« Pour moi, l’engagement, c’est vraiment la qualité du travail, c’est le respect de la personne. C’est y aller avec le cœur et avec le professionnalisme nécessaires ! »
Zahra, salariée du Secours Islamique France.
Zahra est salariée de l’association Secours Islamique France. Elle a choisi de mettre ses compétences au service de cette association en tant que responsable de missions sociales. Dans cette vidéo, elle donne des conseils à ceux qui souhaitent s’engager à leur tour, en tant que bénévoles ou salariés.
« Quand j’ai fini ma prépa, je ne savais même pas quel métier j’allais faire, ni si j’allais partir dans de l’associatif : c’est petit à petit que je suis arrivée là où j’en suis aujourd’hui. »
Mary, volontaire au Service de Coopération au Développement.
Mary est partie au Maroc pendant 2 ans en tant que volontaire de solidarité internationale grâce à l’association Service de Coopération au Développement : sur place, elle a mis ses compétences de chargée de projets eau et assainissement au service d’une association marocaine. Depuis, elle partage régulièrement son expérience auprès de futurs volontaires et les accompagne avant leur départ et à leur retour !
« Il y a des situations de souffrance qui sont largement ignorées : d’un point de vue personnel, ce que m’apporte mon travail, c’est cette connexion.
Je pense que je souffrirais de ne pas être connecté à ces réalités-là. Elles sont révoltantes, frustrantes, elles sont parfois tristes et décourageantes mais elles maintiennent une vraie connexion au réel et je trouve ça extrêmement important. »
Olivier, salarié de Première Urgence Internationale.
Olivier cherchait un métier qui ait du sens : il s’est formé et est à présent responsable des urgences et du développement opérationnel pour l’association Première Urgence Internationale, avec un statut de salarié. Il vit son engagement solidaire au quotidien, dans son travail.
« On passe plus de 80% de notre vie au travail ! Donc je pense qu’il faut trouver du sens à ce qu’on fait. Moi, le sens que j’ai trouvé, c’est de pouvoir changer un monde qui aujourd’hui ne me convient pas. »
Camille, salariée de Handicap International.
Après plusieurs expériences solidaires en France et à l’étranger, Camille s’engage pour changer le monde aux côtés de l’association Handicap international : elle est aujourd’hui salariée et chargée de recrutement. Elle nous explique ce que lui apporte cet engagement solidaire au quotidien.
« Si vous hésitez, n’hésitez pas trop : essayez de partir ! »
Matthieu, volontaire à France Volontaires.
Matthieu a voulu mettre ses compétences professionnelles au service d’une cause qui lui tenait à cœur et devenir volontaire. Il s’est donc engagé auprès de l’association France Volontaires et est parti en mission au Vietnam, où il était chargé du développement de la psychologie clinique. Il nous parle de son quotidien à Saïgon et de ce que cette mission lui a apporté.
« On ne part pas pour fuir, on ne part pas pour sauver le monde. Il faut discerner ses motivations et savoir si on est prêt à vivre cette expérience de volontariat. »
Claire et Olivier, volontaires avec La DCC.
« On a chacun nos idées, on a chacun nos valeurs. [De cette expérience], on garde à vie une ouverture, une petite fenêtre sur l’autre, toujours entr’ouverte. »
Claire et Olivier sont professeurs de maths et de gestion. Ils sont partis en tant que volontaires avec l’association Délégation Catholique pour la Coopération, au Burkina Faso où ils ont enseigné pendant 2 ans. Ils partagent avec vous cette expérience qui les a marqués : couper les ponts avec son quotidien pour aller vivre dans une autre culture, la découvrir et faire découvrir la sienne.
« Nous, ce dont on avait envie, c’était de vivre une expérience solidaire. De vivre avec les gens, pas simplement de partir pour travailler ou pour une expérience personnelle. »
Hélène et Eric, volontaires à La DCC
Elle est infirmière, il est informaticien. Hélène et Eric ont fait part à l’association Délégation Catholique pour la Coopération de leur volonté de se mettre au service d’une cause solidaire : après étude de leurs compétences et de leurs souhaits, la DCC leur a permis de partir en tant que volontaires en Algérie, où Hélène et Eric ont mis leurs savoir-faire au service du diocèse du Sahara algérien. Préparation au départ, rencontres avec les Algériens, volonté d’être une passerelle entre les religions… Ils vous parlent de leur parcours d’engagement solidaire.
« L’engagement humanitaire, ça peut très bien être un engagement associatif, une œuvre caritative que tu fais dans ton quartier. »
Frédéric, étudiant à Bioforce.
Frédéric voulait s’engager pour être solidaire : son projet, travailler dans l’humanitaire. Il a choisi d’être logisticien, un métier qui existe à la fois dans le secteur humanitaire et dans le monde de l’entreprise. Actuellement étudiant à l’école humanitaire Bioforce et avant de partir en mission sur le terrain avec une ONG, il partage avec vous sa vision de l’engagement au quotidien et des exigences de l’action humanitaire.
« [Ce que m’apporte ce bénévolat, c’est] le partage avec d’autres personnes, une meilleure connaissance des contextes internationaux. »
Thierry, bénévole à Action Contre la Faim.
Thierry est administrateur bénévole à l’association Action contre la Faim : élu par les adhérents, il est membre du conseil d’administration et participe aux travaux et décisions de l’association. Il vous explique comment il est arrivé à cet engagement et en quoi consistent ces missions bénévoles.